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Un dispositif innovant peut passer le sang au crible pour y détecter un cancer ou recruter des cellules immunitaires pour une thérapie personnalisée

Les métastases sont responsables de plus de 90 % des décès liés au cancer. Peu d’attention a toutefois été accordée à ces cellules qui, en circulant dans le sang, propagent la maladie, ce qui complique leur identification et leur analyse. Le projet SCALPEL, financé par l’UE, se propose de sauver des vies en développant une micropuce qui permettra de détecter et de trier les cellules métastatiques à partir d’échantillons de sang.

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Un nouveau traitement pour la maladie des rayons

Il n’existe actuellement aucun traitement pour les personnes atteintes d’une maladie aiguë des radiations. Mais l’espoir est de mise. Une combinaison de carbone et de pectine mise au point dans le cadre du projet NanoMed, financé par l’UE, est capable d’absorber les molécules nocives produites dans l’organisme à la suite d’une exposition aux radiations. Il s’agit de la première étape vers le développement d’une pilule qui pourrait simplement être administrée aux personnes exposées à des niveaux élevés de radiation.

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Fournir la science, et les scientifiques, nécessaires pour accélérer la médecine des biocapteurs

Il existe un besoin urgent de dispositifs implantables capables de fournir rapidement des données précises sur la chimie de l’organisme. Le projet ImplantSens, financé par l’UE, a développé des biocapteurs implantables à long terme pour le suivi du glucose, afin d’améliorer la gestion du diabète. Il a également contribué à la formation de la nouvelle génération de scientifiques vouée à ce but.

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Les moisissures à l’échelle nanométrique capturent les sucres révélateurs qui présument de la présence d’un cancer, de maladies cardiaques et cérébrales

Les modifications des sucres attachés aux protéines ont été associées à une série de maladies humaines, mais les outils nécessaires manquent pour détecter ces phénomènes. Le projet GLYCOSURF, financé par l’UE, a mis au point un nouveau test capable de détecter ces subtiles altérations. Cette technologie fournit un moyen robuste et fiable de produire des diagnostics précoces.

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L’intelligence artificielle accélère la chasse aux facteurs favorisant le cancer

Il a toujours été difficile d’identifier les mutations génétiques spécifiques à l’origine du cancer. Le projet NONCODRIVERS, financé par l’UE, propose une approche innovante qui applique une modélisation fondée sur l’apprentissage automatique aux données tumorales. Elle pourrait déboucher sur des thérapies plus personnalisées et sauver des milliers de citoyens chaque année.

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La nanotechnologie peptidique ouvre la voie à l’électronique organique

Les matériaux utilisés dans les implants médicaux tels que les stimulateurs cardiaques et les pompes à insuline peuvent être dangereux pour l’organisme. Le projet BISON, financé par l’UE, cherche une alternative dans les blocs de construction peptidiques auto-assemblés. Cette électronique biologique offre aux citoyens des implants plus sûrs qui pourraient être alimentés par le corps lui-même.

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Des nanotransporteurs pour un traitement plus sûr du cancer du sein

Les patients qui ont subi une chimiothérapie savent que, malgré son efficacité, elle endommage aussi beaucoup les cellules saines. Le projet NANOCARGO, financé par l’UE, a trouvé une solution qui éviterait ce type de problème pour le cancer du sein. Cette avancée pourrait profiter aux milliers de femmes qui suivent chaque année un traitement contre ce cancer en Europe.

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